La sécurité privée touche à des domaines d’exploitation variés et peut souvent s’avérer imprévisible, demandant alors à l’agent une grande capacité à savoir s’adapter à différents types de situations et de rencontres. Une des clés pour ce savoir-faire se trouve dans la communication. la communication non violenteUne approche qui porte sur un ton jugeant et accusateur peut vite conduire à des conflits qui escaladent. La communication non violente est une manière respectueuse d’aborder une rencontre, en créant un climat de compréhension et en motivant la coopération. L’agent de sécurité observe de manière objective et sans jugement, en exprimant ses propres sentiments sans pour autant être critique envers l’autre personne. Il fait des demandes claires et concrètes, en précisant ce qu’il souhaiterait que l’autre fasse, sans utiliser la menace ni le chantage. Que cela soit avec des inconnus, entre collègues ou encoredes clients, la communication non violente permet une communication plus efficace et constructive. Elle promeut la collaboration à travers des expressions claires et respectueuses en faisant preuve une écoute attentive. Parfois, l’agent de sécurité se retrouve à intervenir dans une situation difficile, telle que des altercations. Il arrive que les personnes impliquées soient sous l’influence de l’alcool ou de substances illégales. Dans ces cas, la communication non violente peut être utilisée pour désamorcer la situation. Elle peut aider à calmer les émotions, établir une communication efficace, et chercher à comprendre les points de vue des personnes impliquées pour trouverune solution pacifique. En incorporant les principes de la communication non violente dans la formation des agents de sécurité, ils apprennent ainsi à communiquer plus efficacement avec les personnes qu’ils protègent, à travailler en équipe et à résoudre les conflits de manière constructive. le langage corporelDans la sécurité, le langage corporel peut jouer un rôle important. Voulu ou non, il transmet des messages non verbaux qui peuvent être perçus comme rassurants ou encore menaçants. Le langage corporel est une partie importante dans la communication humaine, et se manifeste de plusieurs manières. Le contact visuel est un outil important pour surveiller des mouvements et détecter des comportements suspects. Il peut être rassurant ou intimidant. L’expression faciale est le miroir de nos émotions. En montrant une expression calme, cette dernière peut aider à apaiser une situation. La posture du corps peut donner une impression de confiance et de sécurité vis-à-vis des personnes, et permet également à l’agent de se tenir prêt à réagir en cas de besoin. Les gestes manuels peuvent être des outils importants pour transmettre des messages tels que des communications non-verbales avec des collègues, ou montrer des directions à suivre. Le langage corporel peut alors être appliqué de manière stratégique pour transmettre des messages et établir une présence rassurante. des agents multilinguesLe monde actuel se fait de plus en plus multiculturel, et la Suisse n’est pas une exception. À Lausanne, ainsi que dans le reste de l’arc lémanique, où Altras Sécurité SA est installé, un grand nombre d’étudiants, touristes, expatriés et bien d’autres personnes parlent des langues étrangères, vivent et se déplacent. Être multilingue dans le domaine de la sécurité est alors un atout important, et peut même s’avérer crucial. Être en mesure de communiquer avec les personnes dans leur langue maternelle favorise une meilleure compréhension, plus rapide et efficace. La capacité de parler plusieurs langues peut alors faire la différence pour la résolution de problèmes de sécurité, ou encore aider dans des situations d’urgence. De plus, être multilingue peut aider à renforcer la confidentialité et la sécurité des informations en évitant des erreurs d’interprétation ou de malentendus qui pourraient mettre en danger la sécurité des personnes ou des biens.
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Alors que le monde de la fête renaît doucement des effets du COVID-19, l’importance des mesures de sécurité est devenue plus prononcée que jamais. Dans l’industrie des festivals de musique, le besoin de mesures sécuritaires efficaces pour protéger les participants et le personnel est particulièrement critique. Ce 18 février, la première édition du festival Creatures s’est déroulée à l’espace Amaretto. L’événement électro reconnaît ce besoin de mesures efficaces et a fait appel à Altras pour assurer la sécurité des amateurs et amatrices de musique électronique. L’une des mesures les plus importantes que le festival a mises en place est la fouille par palpation. La fouille est un élément essentiel de tout plan de sécurité, et le festival Creatures ne fait pas exception. Altras emploie du personnel de sécurité professionnel qui est formé pour effectuer des fouilles de manière respectueuse et non intrusive. L’objectif de la fouille est de s’assurer qu’aucun objet dangereux ou interdit n’est introduit dans l’enceinte du festival. Cela inclut les armes, les drogues et tout autre objet qui pourraient constituer une menace pour la sécurité des participants et participantes. En procédant à des fouilles, le festival est en mesure de créer un environnement sûr et sécurisé pour que les participants puissent profiter de la musique et de l’ambiance. Les organisateurs et l’espace Amaretto comprennent que la fouille corporelle peut être un inconvénient, mais ils estiment que c’est un petit prix à payer pour la tranquillité d’esprit qu’elle procure. En conclusion, la fouille est une composante essentielle du plan de sécurité du festival Creatures, et elle joue un rôle important pour assurer la sécurité des participants et du personnel. Altras estime que cette mesure est essentielle pour créer une expérience sûre et agréable pour tous les participants et participantes.
Chaque année, le Service de Renseignement de la Confédération suisse publie son rapport sur la situation de la sécurité dans le pays. Les conclusions permettent alors à la Suisse d’orienter sa politique de sécurité. Elles sont également utiles pour adapter les process de sécurité lors d’événements publics par exemple. En tant qu’expert de la sécurité privée en Suisse, Altras tient donc compte de ces informations afin d’assurer la meilleure sécurité possible. Voici les principaux éléments à retenir de ce rapport : Les rivalités politiques internationalesD’une part, L’Europe subit quelques crises internes et des luttes de pouvoir. Il en résulte une politique déstabilisée et une économie moins solide. Dès lors, la politique de sécurité suisse doit composer avec cette incertitude. D’autre part, les rivalités existant entre les États-Unis, la Chine et la Russie se ressentent dans le monde entier. Il est donc normal que la Suisse en tienne compte également. En résumé :
Les menaces potentielles au niveau mondialPar ailleurs, plusieurs autres pays présentent des risques géopolitiques. Même s’ils n’impactent pas la sécurité suisse de manière directe, la Confédération ne peut les ignorer :
Les extrémistes politiques en SuisseEnsuite, les extrémistes politiques gagnent en importance dans la Confédération suisse, ce qui présente une certaine menace. D’un côté, l’extrême droite reste assez secrète (53 événements reportés en 2018), malgré l’ouverture récente d’un local associatif dans le canton de Vaud. Selon le SRC, un réel potentiel de violence existe. Quant à elle, l’extrême gauche mène des actions plus visibles, telles que des campagnes contre la répression et l’agrandissement de la prison bâloise. Au total, 226 événements ont été identifiés en 2018, dont 78 violents. De plus, l’extrême gauche profite d’un réseau international et se déclare solidaire du PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan) dans le conflit syrien. Les risques liés à l’armementEn outre, l’armement global présente un autre risque potentiel, qui concerne aussi bien la Suisse que les autres pays européens. Le souci majeur est l’attrait pour les armes de destruction massive, combiné aux avancées technologiques qui en facilitent l’accès. C’est pourquoi les obligations de non-prolifération des armes nucléaires, chimiques ou biologiques se multiplient. Parmi les pays visés, on trouve la Corée du Nord, l’Iran, le Pakistan et la Syrie. L’espionnage à l’échelle mondialePour finir, l’espionnage est extrêmement répandu dans le monde entier ; la Russie et la Chine étant les plus grands adeptes. En effet, la recherche d’informations est cruciale dans un contexte de politique de puissance. Actuellement, l’espionnage bénéficie de moyens cybernétiques de plus en plus évolués et certains États recourent à des délits graves pour servir leurs intérêts. Or la Suisse est directement ciblée par des activités d’espionnage. Elle est non seulement la cible d’espions, mais elle est également un lieu de rencontre pour divers services de renseignement étrangers. ConclusionAinsi, le contexte géopolitique global présente certains risques et menaces, qui pèsent indirectement sur la sécurité suisse. S’ajoutent à cela quelques problématiques internes liées aux extrémistes de gauche et de droite. Dans ces conditions, la Confédération doit gérer cette incertitude grandissante et adapter sa politique de sécurité en conséquence.
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Août 2023
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